Une inter-quoi ? Oui, une interview ! De moi, sur internet, même pas peur ! Allez, je vous raconte comment j’en suis arrivée là.
Comment est-ce qu’on en arrive à se faire interviewer ?
Le début de cette histoire remonte au printemps 2018 : je rencontre Valérie par le biais de son compagnon, elle se pose alors des questions sur sa vie professionnelle et souhaite en discuter avec moi, qui suis justement en pleine réorientation professionnelle. Nous discutons donc de mon expérience du bilan de compétences (voir mon article sur le sujet) et de là une amitié se tisse.
Valérie fait partie de ces gens qui m’ont interrogée sur ma reconversion et à qui j’ai pensé en créant ce blog : si cela suscitait autant d’échange avec mon entourage, alors ça devait intéresser d’autres personnes au-delà de mon cercle de connaissances et il fallait le partager ! C’est cette idée qui m’a permis de sortir de ma zone de confort (clairement) et de m’exposer en rédigeant ce blog. Donc merci à Valérie et aux autres, car ce média m’apporte de belles satisfactions depuis bientôt un an.
Valérie, donc, a elle aussi fait le choix de se réorienter : de manager en informatique, elle est devenue rédactrice web et community manager. Et là, vous voyez venir le lien … Valérie s’est lancée dans une série de portraits de femmes et m’a demandé d’en être.
Vous pouvez retrouver Valérie sur LinkedIn et Facebook.
Qu’est-ce que ça fait de se faire interviewer ?
Et bien, au départ, l’idée même m’a carrément impressionnée ! Le blog, c’est une chose, j’y partage ce que je choisis de partager. Mais une interview, c’est s’exposer encore plus, c’est prendre un risque. Bref, vous l’aurez compris, cette question avait réveillé la petite voix rabat-joie ☹. Mais la confiance que je porte à Valérie l’a faite taire fissa : si elle pense que c’est pertinent, alors c’est le cas (c’est son job, après tout). Et si c’est elle qui m’interroge, alors je n’ai rien à craindre.
Bien m’en a pris, car j’ai eu beaucoup de plaisir à répondre à son interview ! Parce que, faire cet exercice, c’est appliquer encore cette technique du chemin parcouru, quelque part : revenir sur les étapes de mon changement de vie et constater comment j’ai évolué en presque deux ans me fait chaque fois beaucoup de bien, renforce mon choix.
Et c’est un autre média, encore une fois, pour toucher d’autres gens et, qui sait, semer des graines ? Surtout prouver que c’est possible, puisque je ne suis pas Wonder Woman et que je l’ai fait. J’ai à cœur de diffuser autour de moi que l’on n’est pas tenu de poursuivre dans une voie qui a cessé d’être épanouissante. Au 21ème siècle, il est possible d’avoir plusieurs vies professionnelles au gré de son évolution, alors saisissons cette chance !
Au final, cette expérience à quelquechose de terriblement excitant ! J’étais comme une gamine à la parution de l’interview : j’ai vite envoyé le lien à mes proches, puis sur Facebook, puis à ma promo Naturo … Même plus peur du regard d’autrui ! Les différents retours que j’ai reçus m’ont confortée : j’ai bien fait de tenter cette aventure et je remercie chaleureusement Valérie pour en avoir été l’initiatrice et la très bienveillante réalisatrice.
Où lire cette interview ?
Ben oui ! Dis, Julie, on la trouve où cette interview ? Elle est là : https://www.pour-elles.com/oser-la-vie-temoignage-julie
« Oser la vie », j’adore ce titre, la Miss Valérie a fait mouche !
Dans la série Bons Plans, je vous recommande chaudement ce blog qu’est « Pour Elles » .
Voilà pour l’interview, n’hésitez pas à réagir et échanger via la section « Commentaires » ci-dessous ou en message privé via la page « Contact ».
Je suis très occupée par la dernière ligne droite de ma formation (ligne d’arrivée 20 décembre !), donc je publie moins sur le blog que ce que je voudrais (dans un monde où mes journées feraient 30h au moins). Cela dit, je prends plus facilement le temps de faire des petits billets sur la page Facebook associée. Donc si vous voulez plus de news, c’est par ici.
Et pour être informé de la parution d’un article, la rubrique « Abonnez-vous » vous tend les bras sur la colonne latérale !
Un grand bravo depuis l’autre bout de la terre… je suis fière de toi ma puce…. j’ai encore le droit de t’appeler ma puce ?
Biensur : puce tu m’as faite, puce je reste ! En mode Pimouss’ « l’est costaud l’cassis ! » hihihi.